Les mesures de confinement n'ont eu aucun effet sur la mortalité Covid,
d'après l'Université Hopkins
Publié le 03/02/2022 à 16:30
Une étude scientifique issue de la prestigieuse université Johns Hopkins devrait mettre un point final au débat politique et médiatique autour de la question des coûts et des avantages des mesures de confinement. La conclusion est sans appel : peu, voire pas d’effets sur la mortalité liée au Covid-19, mais un coût économique et social désastreux.
Une analyse qui, du reste, confirme en tout point celle qui avait été rédigée par Xavier Azalbert (directeur de la publication de FranceSoir) et le Dr Gérard Delépine (chirurgien oncologue et statisticien) plus d’un an auparavant, que nous avions publiée. À ce moment-là, le journal Le Monde, évoquant notre analyse, s’était fendu de commentaires diffamatoires à l’endroit de notre ligne éditoriale, qu’il qualifiait de « complotiste » et de « covido-sceptique ».
Une revue systématique des études sur le confinement, qui confirme une absence d’efficacité
Ces chercheurs ont réalisé une importante méta-analyse dans l’objectif de déterminer s’il existait des preuves empiriques qui soutiennent la croyance selon laquelle les mesures de confinement réduiraient la mortalité liée au Covid-19.
Les auteurs de ce travail scientifique d’analyse sont au nombre de trois : Steve H. Hanke, professeur d’économie appliquée et codirecteur de l’Institute for Applied Economics and the Study of Business Enterprise à l’université Johns-Hopkins de Baltimore, aux États-Unis ; Lars Jonung, professeur émérite d’économie à l’université de Lund en Suède et ancien conseiller économique en chef du Premier ministre Carl Bildt ; et Jonas Herby, conseiller spécial au Centre d’études politiques de Copenhague.
Ces chercheurs ont eu recours à la recherche systématique et à une procédure de sélection qui ont abouti à l’identification de 18 590 études concernant la problématique. Après filtrage, 34 études ont été retenues. De ces 34 études, 24 d’entre elles correspondaient aux critères d’inclusion.
L’analyse de ces études conduit à une conclusion formelle : « Les mesures de confinements ont eu peu, voire aucun effet lié à la mortalité au Covid-19 », écrivent les auteurs. Dans le détail, au cours de la première vague du Covid-19 au printemps 2020, les mesures de confinement – les politiques qui restreignent la liberté de circulation, imposent la fermeture des commerces et des écoles, interdisent le voyage à l’étranger – ont conduit à une réduction de la mortalité liée au Covid de seulement… 0,2 % en moyenne. S’agissant des mesures d’isolement, la baisse de mortalité est de 2,9 %, selon une moyenne pondérée basée sur la précision.
Comme le soulignent les auteurs, il existe des différences entre les études, certaines trouvant une augmentation de la mortalité liée au Covid-19 suite au confinement, d’autres concluant au contraire à une baisse de cette mortalité. Elles peuvent s’expliquer par plusieurs facteurs comme la durée de l’étude ou l’inclusion d’autres types de mesures sanitaires.
Quoi qu’il en soit, il n’y a « aucune preuve concluante que les mesures d’isolement ont eu un impact notable sur la mortalité par Covid-19 », rapportent les chercheurs qui soulignent que leurs conclusions s’accordent avec les résultats de l’étude Preparedness for a High-Impact Respiratory Pathogen Pandemic [Nuzzo et al. (2019)]: « Dans le contexte de circulation d’un agent pathogène des voies respiratoires dont l’incidence est élevée, la quarantaine est probablement la mesure sanitaire la moins efficace pour contrôler sa propagation en raison d’une haute transmissibilité. »
Elles concordent aussi avec une étude de l’Organisation mondiale de la Santé datant de 2006 : “Nonpharmaceutical Interventions for Pandemic Influenza, National and Community Measures”. Cette dernière portait sur les mesures sanitaires adoptées au cours de la grippe espagnole qui avait frappé le monde en 1918, infectant selon les estimations 500 millions de personnes parmi lesquelles 20 à 50 millions trouveront la mort : « Les mesures de distanciation sociale n’ont pas arrêté ou même réduit radicalement la transmission […] À Edmonton, au Canada, l’isolement et la quarantaine ont été institués ; les réunions publiques interdites ; les écoles, les églises, les universités, les théâtres et autres lieux de rassemblement publics fermés ; et les heures d’ouverture restreintes sans impact évident sur l’épidémie. » L’étude de l’OMS le souligne : « L’isolement forcé et la quarantaine sont des mesures inefficaces et impraticables. »
Suivisme et prévisions fantaisistes, causes de confinements au coût économique et social désastreux
Les chercheurs soulignent que si les mesures de confinement n’ont donné aucun résultat probant sur la mortalité liée au Covid-19, elles ont, en revanche, entrainé un coût social et économique désastreux : « Bien que cette méta-analyse conclue que les confinements ont eu peu ou pas d’effets sur la santé publique, ils ont causé d’énormes coûts économiques et sociaux là où ils ont été adoptés », constatent-ils. Et d’en déduire : « En conséquence, les mesures de confinement sont dénuées de fondement et devraient être rejetées en tant qu’instrument politique de lutte contre la pandémie. »
L’attention est aussi attirée sur l’absence de lien de causalité entre les décisions des décideurs politiques d’instaurer des mesures de confinement et gravité de l’épidémie. Leur mise en place n’est en vérité due qu’à une politique de suivisme : « Les politiques gouvernementales mises en œuvre sont fortement motivées par les politiques initiées dans les pays voisins plutôt que par la gravité de la pandémie dans leur propre pays », observent les chercheurs qui insistent : « Ce n’est pas la gravité de la pandémie qui motive l’adoption de mesures confinements, mais plutôt la propension à copier les politiques initiées par les pays voisins ».
Par ailleurs, ils rappellent que la politique de confinement strict s’est fondée sur les prévisions catastrophistes de l’épidémiologiste britannique de l’Imperial College, Neil Ferguson. Selon le modèle mathématique de Ferguson et de son équipe, publié dans un document du 16 mars 2020, le confinement strict réduirait la mortalité par Covid de 98 %, soutenant par ailleurs qu’en l’absence de mesures pour freiner la propagation de l’épidémie, le virus était susceptible de causer 510 000 morts au Royaume-Uni et plus de 2,2 millions aux États-Unis.
Dans ce rapport, l’Imperial College testait les stratégies de mitigation (ralentir la propagation du virus sans forcément la stopper) et de suppression (confinement strict), afin d’en déduire leurs effets. Ferguson et son équipe estimaient alors que la stratégie de mitigation pouvait entraîner jusqu’à 250 000 morts au Royaume-Uni, et qualifiaient l’autre stratégie, celle du confinement, d’« option politique privilégiée » pour réduire le nombre de décès liés au Covid-19.
Le document du 16 mars de l’Imperial College est, depuis, considéré comme ayant eu un impact important sur les gouvernements, puisqu’il aurait fait changer de stratégie le Premier ministre britannique, Boris Johnson (qui visait d’abord l’immunité collective), incitant d’autres chefs d’État à mettre en place des mesures de distanciation sociale et de confinement strict.
Des prévisions que l’épidémiologiste de l’INSERM, Laurent Toubiana, n’avait pas hésité à qualifier de « charlatanisme » en septembre 2020 sur le plateau de BFMTV. Et pour cause : Neil Ferguson n’en était pas à son premier coup d’essai en matière de prédictions apocalyptiques erronées. Coutumier du fait, l’épidémiologiste s’illustre dès 2005 en prédisant jusqu’à 150 millions morts de la grippe aviaire dans le monde, un mauvais calcul, puisque 282 personnes sont finalement décédées de la maladie entre 2003 et 2009. En 2009, une nouvelle prédiction de Ferguson avançait que la grippe H1N1 pourrait emporter jusqu’à 65 000 personnes au Royaume-Uni. Au bout du compte, la maladie avait tué 457 britanniques.
D’autre part, le « Monsieur confinement » du Royaume-Uni avait été accusé de ne pas lui-même croire dans le péril sanitaire qu’il prophétisait et dans le protocole sanitaire qu’il préconisait, après que le quotidien britannique The Telegraph avait révélé les discrètes visites de sa maitresse à son domicile… en plein confinement. Ayant été pris la main dans le sac en train d’enfreindre les règles en faisant venir cette femme mariée chez lui, le conseiller scientifique du gouvernement britannique avait donné sa démission.
À l’heure où plusieurs pays européens comme l’Angleterre et le Danemark mettent fin à l’intégralité de leurs restrictions sanitaires, reste à savoir si la publication de cette méta-analyse de l’université Johns Hopkins conduira le gouvernement Macron à suivre la science et à faire amende honorable. Il est permis d’en douter.
Auteur(s): FranceSoir
Le Sénat se saisit d’une pétition sur les effets secondaires des vaccins anti-Covid Publié le 10/02/2022 à 17:30e ici
Au lieu de patienter jusqu’à ce que le seuil des 100 000 signatures soit atteint, en principe requis, le Sénat a décidé de répondre mercredi 9 février à une pétition en ligne sur son site à propos des effets secondaires du vaccin contre le Covid-19. Pour ce faire, il a saisi l’Office parlementaire d’évaluation des choix scientifiques et technologiques (Opecst). Une action qui intervient au moment où des milliers d’opposants au passe vaccinal s’apprêtent à « rouler sur Paris » dans le cadre du « convoi de la liberté ».
Une initiative du Sénat « pour répondre aux inquiétudes »
Mise en ligne le 12 janvier, la pétition avait réuni plus de 33 600 signatures en un mois. « Constatant la forte dynamique de signatures » et à « l’approche de la suspension des travaux du Sénat en séance publique », la conférence des présidents du Sénat a pris la décision de se saisir de cette pétition, même si la barre des 100 000 signatures n’a pas été franchie. Le motif communiqué : « Répondre aux inquiétudes ». La pétition est désormais fermée aux signatures.
Si la pétition réclamait la création d’une commission d’enquête sénatoriale sur les effets secondaires des vaccins contre le Covid-19, la commission des Affaires sociales du Sénat a préféré plutôt faire appel à l’expertise de l’Opecst, un organe composé de 18 députés, 18 sénateurs, et d’un conseil scientifique de 24 personnes, a-t-elle fait savoir le 9 février dans un communiqué.
La présidente de la commission des Affaires sociales, Catherine Deroche (LR) a déclaré qu’« il faut répondre aux inquiétudes qui s’expriment », ajoutant : « Par sa pratique de la controverse et sa capacité à mobiliser la communauté scientifique dans sa diversité, l’Office nous a semblé créer les conditions d’un examen serein de ces sujets ».
La pétition est notamment signée par Julien Devilleger, cardiologue non vacciné, suspendu par l’Ordre des médecins. Elle invoque le « rôle de protection du Parlement » et enjoint le Sénat « de s’assurer que la pharmacovigilance est suffisante pour détecter des effets secondaires sur court, moyen et long terme ».
« L’Office parlementaire est à la disposition de l’Assemblée nationale et du Sénat, (…) on va faire un travail de fond », a confié à l’AFP le sénateur Gérard Longuet, premier vice-président de l’Opecst. Et de poursuivre : « La science passionne, […] nous avons des points de vue qui sont parfois très différents dans l’opinion, et le rôle de l’Office parlementaire est d’essayer d’avoir une convergence sur la réalité des informations scientifiques dont on dispose ».
Il est à noter que, dans son communiqué, la commission des Affaires sociales estime que « l’hésitation vaccinale figurait, en 2019, sur la liste des dix plus grandes menaces envers la santé mondiale identifiées par l’Organisation mondiale de la Santé ».
Auteur(s): FranceSoir
PASS VACCINAL : BIENTÔT VOTRE PHOTO D'IDENTITÉ CACHÉE DANS LE QR CODE ? Par Nicolas Cailleaud - Mis à jour le 10/02/2022 à 13:02 Publié le 10/02/2022 à 12:51
Alors que plus de 200.000 faux pass sanitaires avaient été recensés début janvier en France, la question du renforcement de l’authentification du pass vaccinal est toujours en discussion. L’Allemagne prévoit d’introduire dans quelques semaines une nouvelle méthode pour ses administrés qui pourrait inspirer notre pays.
Nos voisins d’outre-Rhin sont en effet actuellement contraints de présenter leur carte d’identité en même temps que l’équivalent de leur pass, chose qui n’est pas systématiquement obligatoire en France sauf si un représentant des forces de l’ordre vous le demande. Toutefois le gouvernement allemand va introduire une solution pour fluidifier les contrôles avec un nouveau type de QR Code qui contiendra directement la preuve de l’identité de son porteur.
C’est la société Ariadnext, spécialisée dans l’identité numérique, qui a travaillé sur cette technologie. Interrogé par CNEWS, Marc Norlain, directeur général et cofondateur d’Ariadnext, explique que «le schéma allemand permettra de stocker votre identité numérique de manière provisoire lors de la présentation du QR Code. Concrètement, après avoir vérifié une première fois votre identité, l’application qui utilise le QR Code va demander à son porteur de vérifier ponctuellement son identité (comme une double authentification) lorsqu’il doit être amené à le présenter. Le QR Code ne serait alors valable que 30 secondes. Si l’on devait appliquer cela au modèle français, vous verriez votre pass vaccinal activé avec le QR Code et un compteur qui tourne à côté».
L’idée est alors de permettre d’authentifier le porteur du pass au moment de son utilisation. Une personne qui présenterait une capture d’écran d’un pass emprunté à un autre individu ne pourrait donc pas être authentifiée. «L’avantage d’une telle option est de ne pas stocker d’information supplémentaire, le porteur devant simplement s’identifier. Toutefois, cette mesure présente l’inconvénient de devoir passer obligatoirement par un mobile», précise Marc Norlain.
UNE PHOTO COMPRESSÉE DANS LE QR CODE
Mais il existe un second scénario à l’étude basé sur la compression d’une photo dans le QR Code et qui pourrait également intéresser la France. «C’est une technologie qui existe, puisque le code barre pourrait inclure la photo fournie pour attester de votre identité», résume Marc Norlain. Cela permet alors à un serveur dans un restaurant ou bien une personne située à l’accueil d’un cinéma de voir immédiatement sur l’application TAC Vérif s’il s’agit bien de vous, par exemple. Ici, cette authentification avec la photo jointe pourrait être utilisée même pour les personnes n’ayant pas de mobile, mais leur justificatif sur papier.
«En Allemagne, la présentation du papier d’identité en même temps que le pass est acceptée de manière générale, c’est pour cela que ce pays a opté pour la première solution. En France, c’est moins évident. Les autorités en discutent, mais la question est de savoir si l’usage du pass vaccinal/sanitaire va durer ou bien reviendra de manière chronique à l’avenir. Auquel cas nous pourrions avoir de nouveaux types de pass déjà prêts lorsque la situation le nécessite», estime Marc Norlain.
DES TECHNOLOGIES EN DISCUSSION
Pour l’heure la technologie utilisée dans le pass vaccinal actuel est considérée comme infalsifiable, à moins de connaître une personne corrompue qui pourrait en générer pour en distribuer. Toutefois, la duplication d’un pass et son QR Code est utilisée par les fraudeurs pour accéder à des lieux où l’identité d’une personne n’est pas vérifiée. L’ajout de ces méthodes d’authentification permettrait donc de pallier ce type de fraude.
Reste que tous ces choix posent des problèmes d’intégration à différentes échelles au sein des QR Codes générés pour les pass, mais aussi dans l’application TousAntiCovid, de même que des coûts de financement. Ainsi, rien n’a encore été décidé au sein du gouvernement.
QR code et identité bientôt liés ? Publié le 10/02/2022 à 18:38
Pour répondre au problème des faux passes vaccinaux, l’entreprise française Ariadnext, spécialisée dans l’identité numérique, planche sur un système de vérification d’identité grâce aux QR codes. Des recherches qui intéressent l’Allemagne, pays au sein duquel il est déjà nécessaire de présenter une carte d’identité en plus de son passe vaccinal.
En France, le contrôle d’identité est un sujet sur lequel les élus ont souvent fait montre d’une opposition ferme, réservant ce privilège aux seules forces de l’ordre. Cela étant, la question étant revenue plusieurs fois sur la table à cause des faux passes, rien ne garantit que les recherches d’Ariadnext n’intéresseront pas le gouvernement français.
Interviewé par CNEWS, le PDG Marc Norlain a dévoilé deux pistes exploitables. Dans le premier cas, il s’agirait de rentrer une première fois son identité sur l’application TAC Verif, puis, à chaque présentation du QR Code, une vérification serait demandée. Cela permettrait d’avoir « tout en un » téléphone, mais exclurait l’option papier.
Dans l’autre cas, l’entreprise imagine un QR code dans lequel serait directement enregistrée la photo d’identité. Ainsi, en présentant celui-ci, la personne qui procède au contrôle verrait à la fois le statut vaccinal et la photo d’identité de l’intéressé.
Toujours en discussion pour le moment, ces recherches vont dans le sens de la société de contrôle, dénoncée depuis des mois par de nombreux élus tels que Loïc Hervé ou Sylviane Noël. La sénatrice de Haute-Savoie dénonçait « une société de flicage aux antipodes des valeurs de mon pays« .
Auteur(s): FranceSoir
Mort du Pr Montagnier :
Didier Raoult rend hommage au chercheur "atypique" sur Sud Radio
Publié le 10/02/2022 à 18:38re titre ici
André Bercoff recevait aujourd’hui le professeur Didier Raoult dans son émission « Bercoff dans tous ses états« , sur Sud Radio à la mi-journée. Le directeur de l’IHU a rendu hommage au professeur Pr Luc Montagnier, prix Nobel de médecine en 2008 pour la découverte du virus du SIDA, décédé avant-hier.
Xavier Azalbert, directeur de la publication de FranceSoir, était également invité à témoigner ; il a notamment expliqué pourquoi FranceSoir a été le premier média à annoncer le décès de l’éminent chercheur.
Didier Raoult s’était auparavant fendu de quelques mots d’hommage, via son compte Twiter :
"On ne peut plus accepter ces mensonges d'État"
Christian Perronne
Publié le 10/02/2022 à 19:00
À l’occasion de la sortie du livre de Robert Kennedy Jr, le professeur Perronne, multipliant les déclarations explosives, revient pour dénoncer les actes de collusion et de corruptions qui minent nos systèmes de santé.
Ancien chef du service des maladies infectieuses de l’hôpital de Garches, il est l’un des meilleurs spécialistes des maladies infectieuses et tropicales. Dans le cadre d’un défi de la vérité, il est venu présenter le livre de Robert Kennedy Jr : « Antony Fauci, Bill Gates et Big Pharma: leur guerre mondiale contre la démocratie et la santé publique », dont il a préfacé la version française. Le livre, publié aux éditions Résurgence, sortira le 14 février prochain.
Antony Fauci, Bill Gates et Big Pharma: leur guerre mondiale contre la démocratie et la santé publique
Dans cet ouvrage documenté d’une enquête de 40 ans, l’avocat Robert Kennedy Junior révèle comment Antony Fauci, le conseiller en chef pour la santé publique américaine, a fait pression sur l’ensemble du monde médical, n’hésitant pas à orchestrer des études frauduleuses pour saboter des traitements thérapeutiques efficaces notamment à l’époque du virus du sida.
Dénonçant les trafics d’influence et les phénomènes de cour, Robert Kennedy Jr expose la manière dont le Dr Anthony Fauci, devenu directeur de l’Institut national des allergies et des maladies infectieuses (NIAID) depuis 1984, distribue les six milliards de dollars de fonds dont il dispose chaque année de ce centre de recherche, aux institutions et aux scientifiques qui suivent sa stratégie, n’hésitant pas à ruiner ceux et celles qui s’opposent à ces décisions.
Si le livre traite des histoires de corruptions dans de très nombreux domaines de la santé, il aborde également l’instrumentalisation de la pandémie de Covid-19 pour dénoncer la toute puissance d’Antony Fauci, de Bill Gates et d’autres dans leur contrôle de toutes les institutions : agences gouvernementales, revues scientifiques, hôpitaux, universités, médecins et chercheurs influents.
Désignant une politique médiatique décalée par rapport à la réalité de la maladie qualifiée de peu virulente, Robert Kennedy Junior n’hésite pas à qualifier de propagande, des discours effrayants et mensongers diffusés ad nauseam pour museler tout débat contradictoire qui serait venu relativiser la sévérité et la pathogénie du SARS-CoV-2.
Si cette corruption a longtemps été ignorée du grand public, la publication de ce long travail d’investigation, qui est déjà un succès aux États-Unis, est destinée à alerter et à réveiller les consciences des personnes qui se soucient de la santé des citoyens.
La corruption médicale en France
Mais si la corruption règne en maître aux États-Unis, la France n’est pas en reste dans ce domaine. Dénonçant les agissements d’un « establishement corrompu », relayé par les médias, le professeur Perronne n’hésite pas à révéler la grossière manipulation des statistiques de la mortalité par Covid pour imposer des obligations, des restrictions de vie et des produits expérimentaux alors que des traitements précoces ambulatoires ont été ignorés.
Il regrette également que l’Ordre des médecins se plient aux injonctions des autorités et rappelle que cette institution pourrait avoir des comptes à rendre notamment en matière de politique vaccinale, tandis que l’efficacité de ces thérapies expérimentales est de plus en plus remise en cause, à mesure que les Français constatent leur inefficacité à freiner la propagation du virus. S’agissant de la toxicité des vaccins, il n’hésite pas à dénoncer des produits dangereux et fustige les propos du Président de la république, stigmatisant les non-vaccinés tandis que la plupart des pays révèlent que ce sont les personnes vaccinées qui font les formes les plus graves.
Au sujet des rappels vaccinaux et des délais, il dénonce « des décisions purement politiques », faisant remarquer l’absence d’étude scientifique pour venir les étayer.
Revenant sur sa carrière, le professeur Perronne identifie rétrospectivement certaines compromissions industrielles, politiques, pharmaceutiques et médicales.
Sur le dossier du VIH, il se souvient des attaques à l’encontre du docteur Jacques Leibowitch, premier scientifique à identifier le virus du sida comme étant un rétrovirus. Ce dernier, après la mise en place d’un traitement quotidien d’attaque pour casser le virus, n’hésitait pas à alléger le traitement de ses patients. Si ces décisions thérapeutiques sont reconnues aujourd’hui, elles se sont à l’époque heurtées aux intérêts des entreprises pharmaceutiques.
Un entretien passionnant dans lequel le professeur Perronne révèle avec beaucoup de courage et de détermination des discours qui manquent d’impartialité et des décisions qui présentées « au nom de la science » sont en réalité viciés par les liens d’intérêts.
Auteur(s): FranceSoir

VOUS VOUS SENTEZ MAL ?
VOUS AVEZ LE DROIT !!!
Admettre que votre ressenti n’est pas au beau fixe est une des meilleures choses que vous puissiez faire pour vous-même !
Pourquoi ? Cet article et l’histoire de Martin devraient vous éclairer…
Y A PAS DE PROBLÈME !
NON ! Y'EN A PAS !
Que font beaucoup d’entre nous lorsqu’un feeling négatif se balade quelque part en eux ? Ils se disent qu’en « positivant » un peu, les choses s’arrangeront. Que la situation n’est pas si grave et que ça finira bien par s’arranger avec le temps. Or, l’évitement ne permet pas de résoudre un problème de quelque nature qu’il soit puisque dès le départ l’existence de celui-ci est niée…
Martin : « Au début, je me suis dit que ce n’était qu’une passade mais avec le temps ça ne s’est pas amélioré… »
HEUREUX TU SERAS !
Pourtant, admettre qu’on a un problème n’est pas toujours une sinécure. La dictature du bonheur n’est jamais très loin… Je ne devrais pas ressentir ça, je devrais « gérer », savoir me détendre.
Martin : « Franchement, j’ai pris sur moi ! Je me donne à fond, je fais tout pour que ça marche, je me sacrifie même… »
TU DEVRAIS CECI... TU DEVRAIS CELA…
Et les autres d’aggraver la ritournelle si par hasard vous leur confiez votre mal- être…
Un ami parle à Martin : « T’as tout pour être heureux Martin, un job, une femme adorable un magnifique bébé et tu ne manques pas d’argent. Essaie de regarder les choses sous un angle un peu plus positif… Alors Martin fait encore plus d’efforts pour ravaler ce tuc désagréable au fond de lui et décide de faire aussi plus d’efforts pour être « positif » !
Mais ça ne s’arrête pas ! Et vous finissez par vous sentir mal d’être mal !
LA SPIRALE INFERNALE
LE VRAI PROBLÈME
Le vrai problème ne vient pas du problème ! Mais du jugement que les émotions négatives ne sont pas acceptables ! C’est précisément ça qui nous empêche d’avoir une attitude juste et adaptée à la situation.
Sa femme parle à Martin : « Ecoute Martin, tout va bien, on a tout pour être heureux. Tu devrais peut-être ralentir les travaux de la maison ? » Martin : « Non, j’ai pas envie d’y passer ma vie entière ! »
C'EST OK DE NE PAS SE SENTIR BIEN !
Vous ressentez de l’insatisfaction ? C’est bien ! De la frustration ? Très bien ! De la colère ? C’est encore mieux et je vous en félicite ! Dites-vous : « J’ai le droit ! » Allez dites-le ! Plus fort ! Encore plus fort ! Voilà, c’est parfait ! Vous venez de faire le premier pas vers le changement ! Cependant, si vous n’avez pas envie de changer quoi que ce soit dans votre vie et que cet article commence à vous indisposer, c’est très bien aussi mais peut-être n’êtes vous pas au bon endroit ?
Martin : « Ben moi, je préfèrerais me sentir mieux plutôt que de crier bêtement que je suis en colère… » Encore un jugement sur toi-même Martin ! Martin : Hein ? Qui me parle ? Voilà que j’entends des voix maintenant… »
NE TUEZ PAS LE MESSAGER !
Bon, si vous en avez assez de ce qui ne marche pas dans votre vie, il est nécessaire de commencer par l’admettre… Les sentiments désagréables que vous ressentez sont BÉNÉFIQUES, SALUTAIRES. Ils sont des messagers bienveillants ! Alors ne tuez pas les messagers ! Je vous dirai pourquoi après.
Martin : « Je ne vois pas comment ce que je ressens pourrait me servir… Je suis crevé, je bosse du matin au soir et le week-end pour au final avoir l’impression d’être à côté de la plaque… »
LA VERITÉ
MAIS OÙ EST LE BONHEUR ?
Et oui, le plus souvent, le problème vient du fait que l’on voudrait se débarrasser du problème !
Mais ce n’est pas toujours possible… Rassurez-vous, ce n’est pas non plus nécessaire car la satisfaction, le bonheur et la plénitude viennent de l’aptitude à savoir résoudre les problèmes en général ! Pas à les éliminer !
Martin : « Moi qui pensais qu’en finissant mes travaux je n’aurais plus de problème. Pour couronner le tout maintenant j’entends des voix… » Ce que ta femme veut Martin, c’est que tu te sentes bien ! Et ce rêve que tu as mis de côté pour « faire plaisir à ta femme » ? Tu sais, finir de corriger le premier tome du roman que tu as écris. Tiens tiens, ça ne serait pas une très bonne excuse tout ça ? Il est vrai que ce n’est pas simple de faire publier un livre… Un autre problème on dirait qui, s’il était résolu, pourrait bien apporter beaucoup de satisfaction à ta vie. Mais qui laisse un goût amer tant que tu ne t’en préoccupes pas en invoquant les meilleures raisons du monde pour ne pas le faire…
IL Y A ERREUR SUR LE BONHEUR !
Quoi qu’il se passe, vous aurez des problèmes !
La vérité, c’est qu’il y a souvent erreur sur ce qu’est le bonheur. Car si on pense que le bonheur réside dans le fait de ne pas avoir de problème, c’est une vie de frustration qui en émergera ! Tenter de tuer votre mal-être, revient à tuer le messager ! Tuez le messager et je peux vous promettre une vie remplie d’insatisfaction.
Pour autant, être heureux, ne consiste pas à se prélasser sur une plage ou à jouer au tennis toute la journée. Ça, soit ce sont des récompenses, soit c’est le paradis mais pour l’instant nous sommes ici, sur la Terre !
Martin dans ses pensées : « Moi ce que je voudrais, c’est avoir le temps de profiter de mon jacuzzi autant que je le veux… » Fais-le et arrête de te plaindre ! Martin : « Y a plus moyen d’être tranquille ! «
JE N'AI PAS DIT QUE ÇA SERAIT FACILE
Surtout, ne vous méprenez pas, je n’ai pas dit que ce serait facile car certaines situations peuvent être totalement désespérantes, voire catastrophiques. Parfois, il faudra beaucoup de persévérance, de patience et de créativité pour que les choses deviennent différentes. Encore une fois, à l’impossible nul n’est tenu ! Mais tout est une question de choix. Gardez en tête que vous avez le droit de vous sentir mal.
Et comment choisir, Me direz-vous, si je sais que ce cancer va m’emporter d’ici à trois mois ? Je sais, ce n’est pas toujours simple. Mais vous pouvez encore choisir et décider comment vous allez vivre ce temps et peut-être dire ou faire des choses que vous avez reportées jusqu’à maintenant, ou d’autres choses qui apporteraient du sens à ce temps.
LES PROBLÈMES, LA CLÉ DU BONHEUR ?
LA CAPACITÉ A PRENDRE DES TARTES DANS LA FIGURE
Changer de perspective face à une situation que l’on tenait pour vraie et pour acquise n’est pas facile pour nos égos. Pourtant, accepter la situation et accepter de relever les défis qui s’offrent à nous avec justesse et sincérité est une attitude qui à la longue porte ses fruits. Pourquoi ? Parce que c’est l’unique manière d’apporter considération et respecte à nos aspirations les plus profondes ! Et de nous ouvrir la voie vers une vie réussie !
ACCEPTER LA SITUATION !
Qu’est ce qui fait que l’on se sens confiant dans la vie et apte à relever les difficultés ?
1-Acceptez de voir les choses telles qu’elles sont. La plupart du temps, en prenant du recule, on s’aperçoit qu’on s’est raconté une histoire…
2-Prenez une décision juste et courageuse après vous être interrogé sur ce qui compte réellement pour vous.
Martin : « Franchement, j’étais persuadé que finir les travaux était la meilleure chose à faire pour faire plaisir à tout le monde… Je m’imaginais débarrassé, enfin tranquille et entouré par une famille aimante. Mais ce qui compte le plus pour moi, c’est que nous restions soudés » Je te félicite Martin, car le travail que tu viens de faire demande une certaine dose de courage. Beaucoup auraient décidé de tout envoyer balader à ta place. Ils auraient peut-être eu le réflexe de se victimiser en disant qu’ils n’étaient pas compris et que tout ce qu’ils voulaient c’était « bien faire ».
Acceptez la situation ! Osez faire face aux difficultés avec honnêteté au fur et à mesure qu’elles se présentent ! Car plus on relève de défis et plus on se sent apte à en relever encore et encore sans jamais tenter d’y échapper !
Offrez-vous cette force afin d’être en mesure d’accepter que la vie est incertaine mais tellement passionnante ! Lorsqu’on accepte de la regarder sous un autre angle…
CRÉER UN CERCLE VERTUEUX
C’est un cercle vertueux !
Résoudre les difficultés au gré des événements permet de découvrir des qualités insoupçonnées que ce soit chez nous-même ou chez les autres. C’est la seule et unique voie qui permette de créer une vie qui donne envie de se lever le matin.
Martin : « En cessant momentanément les travaux, je me suis aperçu qu’il me restait suffisamment de temps pour achever les dernières corrections de mon roman. Je l’ai fait et Je me suis senti redynamisé ! J’ai alors décidé de faire ce que je voulais faire depuis une éternité : tenter ma chance pour que ce roman se trouve un jour sur les rayons des librairies ! » Waouh ! Là je crois que tu es vraiment sur la voie Martin ! Tu ne peux pas imaginer à quel point je suis fière de toi mon Martin ! J’étais sûre que tu allais le faire !
Chaque émotion désagréable, chaque sentiment négatif est un messager qui qui doit être considéré avec respect, bienveillance et gratitude. Tuer le messager revient à se tuer soi-même ! Nos sentiments et nos émotions négatives nous ouvrent la voie vers les plus hautes opportunités de notre vie !
Nous en avons besoin pour exprimer le meilleur de nous-même ! Pour exister au travers de ce que nous avons de meilleur à offrir au monde qui nous entoure ! C’est en cela que nous trouvons le piment, la joie qui donnent du SENS à notre existence !
